REGARDEZ : Que faudrait-il pour que la génération Z soutienne Israël ?

Bienvenue à l'épisode 1 du podcast "Beauté. Vérité".

Adam Lee Rosenfeld, artiste et leader messianique israélo-américain, nous fait part de ses observations sur le lien entre la foi, l'art et la culture, et le fait de pointer vers Dieu.

Rejoignez la discussion en regardant la vidéo ci-dessus ou en lisant la transcription.

Bonjour, comment allez-vous ?

Je m'appelle Adam Lee Rosenfeld.

Je parle de la jonction entre la culture, l'art et la vérité.

Je parle à partir de cet endroit.

Cela me ramène à un article paru dans le magazine Wired il y a une dizaine d'années. Il s'intitulait "J'ai aimé tout ce que j'ai vu sur Facebook pendant deux jours".

Il s'agit d'un récit hilarant d'un gars des années 2000, journaliste dans une publication à succès, qui a aimé tout ce qu'il voyait sur Facebook et le chaos qui s'en est suivi. Des fenêtres publicitaires, des suggestions et des notifications ont été envoyées à ses propres amis.

Il recevait des messages lui demandant si son compte avait été piraté. Mais au milieu de toutes ces choses qui lui étaient servies par les réseaux sociaux - par Facebook - il y avait un message sur Gaza.

À l'époque, Israël menait l'une de ses offensives pour contrer la menace sécuritaire que représentait le Hamas à Gaza. J'ai trouvé curieuse la réaction de cet auteur, de ce rédacteur en ligne, lorsqu'on lui a servi une suggestion sur Gaza.

Et ce qu'il a dit, c'est : "Oh, mec, maintenant je dois aimer quelque chose à propos de Gaza ?"

Et c'était une manière tellement concise de communiquer que la jeune génération a un problème. Le problème, c'est qu'elle n'a pas de position claire sur les questions concernant Israël, et qu'Israël est perçu comme un inconvénient.

En prenant à part l'offensive à Gaza, ne serait-ce que sur les réseaux sociaux, cet auteur a compris qu'il n'avait pas de position claire. Il n'était pas prêt, il n'était pas préparé à aimer ou à ne pas aimer quelque chose à propos de Gaza. De plus, cela l'a dérangé.

L'un des principaux journaux israéliens, peut-être même le principal journal israélien, a récemment publié les résultats d'une enquête et d'une recherche qui, pour résumer rapidement, indiquent que le soutien des évangéliques à Israël a chuté de 50 % ces dernières années.

Cela montre qu'il y a un renouvellement des générations, même parmi les chrétiens évangéliques, ce qui se traduit par une baisse du soutien à Israël. Ma question est la suivante : "Que faudrait-il pour que le soutien à Israël ne cesse pas de diminuer, mais qu'il augmente réellement ? Et je pense qu'il serait bon de se demander : "De quoi Israël a-t-il réellement besoin?"

Israël a-t-il besoin que ce journaliste du site Wired aime quelque chose ? Israël a-t-il besoin que vous aimiez quelque chose sur Facebook ? Israël a-t-il besoin que vous fassiez un podcast, que vous manifestiez, que vous organisiez une marche et que vous imprimiez des tracts ?

De quoi Israël a-t-il besoin ? Et ma seule façon de voir les choses est de me plonger dans la Genèse 12:3, où Dieu dit : "Je bénirai ceux qui te béniront et je maudirai ceux qui te maudiront, et en toi toutes les nations seront bénies".

En fin de compte, Israël a besoin d'être béni. Voilà le besoin.

Maintenant, que signifie la bénédiction pour la nouvelle génération ? Je ne peux pas répondre à cette question pour tout le monde. Mais si chacun cherche dans son propre cœur à bénir Israël, je crois que ce sera vraiment une bénédiction, et que cela apportera vraiment une bénédiction non seulement à Israël, mais aussi aux nations du monde.

Il s'agit ici de bénir Israël. Pourquoi ? Pourquoi faut-il bénir Israël ? Eh bien, au-delà du fait, ou en relation avec le fait, que cela apparaît dans la Bible - dans Genèse 12:3 - nous pouvons également souligner le fait que Dieu a un modèle. Pour sa propre raison, Dieu a décidé qu'il fallait bénir Israël et être béni, ou aller de l'avant et maudire Israël et être maudit. Mais cela montre qu'il y a un Dieu souverain qui a un plan souverain. Il aime que les gens respectent son plan.

Et dans les jeunes générations, il y a un retour en arrière. On s'oppose à l'idée qu'il y a un plan, qu'est-ce que cela veut dire ? Et il y a un mot à la mode, le patriarcat, qui fait référence à des limitations imposées d'en haut. Vous ne pouvez pas faire ceci, vous ne pouvez pas faire cela. Pourquoi ? À cause du "patriarcat". Le patriarcat de Dieu décide que vous devez bénir Israël. C'est le modèle : honorez-le. Ne l'honorez pas. C'est le modèle de Dieu.

Mais quel est le problème avec les générations suivantes ? Pourquoi y a-t-il une différence entre les générations suivantes ? Que recherchent les générations suivantes ?

En tant que membre d'une jeune génération particulière, je suis à cheval entre la génération X et la génération du millénium. Mais je crois que nous sommes dans une génération hyper-saturée en médias, qui a connu une deuxième révolution industrielle, une révolution numérique, qui a éradiqué beaucoup de sens.

Les gens sont en quête de sens. Et lorsque ce sens est enlevé, il y a aussi une perte de sécurité. Il y a un désir de sécurité, un désir de trouver un sens, un désir de trouver la beauté. Toutes ces choses ont fait mal, et il y a donc aussi un désir de guérison.

Si vous pouvez offrir beauté, guérison, sens, sécurité aux jeunes générations, vous pouvez atteindre ces générations. Qui fournit ces choses ? Nul autre que Dieu - la même entité qui nous appelle à bénir Israël.

Pour diverses raisons, les cœurs des fils étant tournés vers les pères et les cœurs des pères étant tournés vers les fils - et le fait que cela ne soit pas appliqué, il y a une déconnexion. Les jeunes générations souffrent. Il y a des besoins. Les gens essaient juste de s'en sortir. Il y a un décalage dans la recherche d'une vie rémunératrice. Il y a des inégalités de revenus. Et vous pourriez vous retrouver à la fin de la journée à trouver quelqu'un qui vous dira : "Hé, je n'ai même pas d'argent pour aller en Israël. Pourquoi devrais-je m'intéresser à Israël ? Et oubliez cela, je n'ai même pas le temps de m'intéresser à Israël".

Comment les jeunes générations pourront-elles réellement bénir Israël ? Je crois qu'il n'y a qu'un seul moyen. Cela ne passe pas par la tradition. Ce n'est pas la religion. Ce n'est pas par la politique. Toutes ces choses ont leur importance, mais un véritable changement, une véritable transformation, une véritable signification des besoins des jeunes générations, ne peuvent être obtenus qu'en s'adressant à Dieu, la même entité qui dit de bénir Israël.

Je vous encourage, lorsque vous interagissez avec les jeunes générations, à en tenir compte. Soyez attentifs aux besoins des jeunes générations et à la réponse à ces besoins, qui est Dieu. Et de croire que Dieu est fidèle à Lui-même pour éclairer les jeunes générations sur la nécessité de bénir Israël. Merci.